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Bonjour,
Voici une petite série centrée sur des regards d’oiseaux parisiens que je trouve plutôt expressifs.
1. Toréador
2. Séducteur
3. Complice
4. Fier
5. Interrogatif
6. A l’affût
7. A l’affût (2)
8. Perché
9. Royal
Bonjour Sébastien
En photo animalière, le regard est effectivement important et la quette est d’avoir l’œil net dans une photo d’animal. Dans ta série de photos, pour certaines, l’oeil n’est pas très « piqué » ou net. C’est le cas du Héron et quelques autres, à l’inverse des n°4, 5 et 9 qui sont bien piquées. Pour les autres photos, telle que la première, le corps du cygne fait qu’on est plus attiré par la masse noire en bas d’image que par l’œil. Il faudrait aussi que tu soignes tes cadrages pour que la photo dans sont entier soit moins déséquilibrée… et du coup, l’œil y trouverait sa bonne place ce qui le mettrait en valeur.
Pascale
Bonsoir,
Merci pour vos messages ! Ca m’aidera à progresser !
J’utilise un lumix G90 (m4/3), avec un 14-140 ou un 100-300 (f/3,5-5,6), ce qui permet grâce à ce format d’avoir un équivalent 600 mm pour 1,2 kg, appareil compris 🙂
Je ne me souviens plus forcément des distances de prise de vue pour chaque photo, mais on doit être selon les cas ici entre 2 et 15 m. C’est un défi de s’approcher, même pour des oiseaux « de ville » habitués aux hommes, car s’ils ne sont pas forcément impressionnés par les gens qui passent en marchant, ils deviennent beaucoup plus farouches dès qu’on semble s’intéresser un peu à eux… Il faut savoir être immobile un certain temps en regardant ailleurs…
Quelques précisions sur les différentes photos :
1. J’ai bien compris pour le cadrage qu’il ne fallait jamais se mettre en plongée… La mise au point est en plus ici sur le haut de l’aile et non sur l’oeil…
2. et 3. Je vous avoue que je ne vois pas très bien comment les yeux, notamment sur la 2., pourraient être plus net.
(500 / 600 mm (équivalent), f/5.6, 1/500s, 2500ISO)4. J’ai un peu forcé en post-production, le bec est brûlé. (600 mm (eq.), f/5.6, 1/500s, 1250ISO)
Voici un meilleur développement, avec passage au noir et blanc, qui, je trouve, est intéressant :
5. Je me demande si les 2 branches en arrière fond ne gênent pas. Mais elles sont inclinées un peu comme le bec, ce qui pourrait être intéressant. Sans doute une affaire de goût? (280 mm, f/5.6, 1/500s, 640ISO)
6. C’est tout flou, on est d’accord!
7. J’ai posté vite fait à partir d’un jpeg retouché et compressé… Voici ce que ça donne à partir du RAW, et là, j’ai l’impression que l’oeil est bien plus net (320 mm, f/5.6, 1/1000s, 2500ISO):
8. C’est sûr que la mise au point est sur le bec, donc 1cm plus bas que les yeux. Mais avez-vous déjà vu un héron perché et caché dans un arbre bien feuillu, en étant plus bas que lui de 2m presque à la verticale, et observé par lui des 2 yeux? Ca pourrait être un défi photo !!! D’ailleurs, je ne me doutais pas que le héron cendré avait une vision binoculaire en bas de sa tête… (280 mm, f/5.6, 1/320s, 800ISO)
9. Ca a été un vrai défi de prendre ce paon, car il marchait presque sans cesse et il n’est pas resté bien longtemps devant les dorures de cette porte! (280 mm, f/5.6, 1/400s, 400ISO)
Pascale, peux-tu préciser ce que tu entends par « meilleur cadrage »? J’ai essayé de m’appuyer sur des diagonales, la « règle des tiers », parfois quelque chose de plus centré…
Merci pour les retours!
Sébastien
… j’ajoute 2 photos, avec un travail sur la lumière et sur la posture
10. Sous les projecteurs (600mm, f/5.6, 1/800s, 1250ISO)
11. Mode furtif (600mm, f/5.6, 1/1250s, 2000ISO)
Sébastien
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