Toutes mes réponses sur les forums
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Bonsoir Gérard,
bienvenue sur le forum. J’habite près de Nimes et la Camargue est aussi mon terrain de jeu. Peut-être aurons nous l’occasion de nous croiser !
Pascale
C’est corrigé.
Pascale
Bonjour Yvon, je vais aller voir
Pascale
Oui, je crois que le Mossieu… il a zappé !!!
Pascale
Oui, en fait, quand on est accro, on se crée les occasions !
Pascale
Bonjour Bernard et Serge
Merci pour vos passages et avis. Les cadrages sont compliqués par le désordre de la plante. Dès que l’on tente un cadrage, même original, il reste un morceau parasite ou bien on supprime quelque chose qui me parait intéressant. J’ai eu beaucoup de déchets sur cette série pour ces raisons là… D’autant plus qu’il faut aussi trouver un point de netteté qui accroche l’œil et quelquefois il est mal placé.
Je vous propose une petite suite, toujours avec l’orchis bouc… habité !
24. Au sommet de la plante qui avant encore des boutons, une araignée se tenait en embuscade
Elle jouait à cache cache avec l’Oedemère noble se montrant, puis se cachant
25.
Il n’y a pas eu de prédation entre les 2 individus.
Je continuerai ce fil un peu moins assidument car je parts en vadrouille dans les semaines à venir. Mais il y a encore de belles choses à voir. Cela laissera aussi le temps à Maggy de poster ses photos qu’elle a dû commencer de trier en milieu de semaine.
Pascale
Bonjour,
Voici une petite suite. Changement de décor, la scène se situe maintenant dans une plante haute à ombrelles (je ne sais pas laquelle), à côté de notre gîte. Les fourmis y font des va et vient.
27. Il s’agit d’une autre espèce que je n’ai pas identifiée. Comme vous pouvez voir, la fourmi est plus grosse que les précédentes.
Pour les photos suivantes, j’ai utilisé le 100 mm macro de Canon
28. Je vais vous raconter une petite histoire en images. Ici, une petite fourmi (de celles photographiées dans le mur), entreprend de monter sur la tige. Un danger guète !
29. Voici la prédatrice qui je pense, est une thomise, mais je n’en suis pas certaine.
30. A ce stade, je ne donnais pas cher de la peau de la fourmi, mais c’était sans compter un élan de solidarité de ses copines (qui pourtant, ne semblent pas de la même famille)
31. La petite a pu déguerpir et la grosse a expliqué à l’araignée qui était le chef
32. Une copine est venue à la rescousse et elles se sont mises à tour de rôle à cisailler la toile de l’araignée
L’araignée a fini par rebrousser chemin en s’installant plus loin sur la toile. A partir de là, les fourmis l’ont laissé tranquille et ont continué leurs allées et venues sur la tige.
33. L’araignée n’est pas pour autant bredouille. Ici, elle tient une proie mais je ne sais pas de quoi il s’agit.
Je serai moins assidue sur le forum dans les semaines à venir car je vais partir un peu en vadrouille. Mais j’apporte l’appareil pour immortaliser les fourmis qui croiseront mon chemin !
Pascale
Faut pas être désolé Claude… ça nous fait plaisir que tu sois là et heureusement d’ailleurs… ça permet de s’y sentir moins seuls !
Pascale
Bonjour Claude. Merci pour ton passage.
Extrait du guide des fourmis de France :
« Impact écologique des insectes sociaux
Il existe peu d’insectes sociaux en comparaison du grand nombre d’insectes solitaires. Mais ils ont un fort impact écologique, soit parce qu’ils sont très abondants, soit parce qu’il remplissent des fonctions uniques. …/… Les guêpes et les fourmis sont des prédatrices importantes d’insectes et limitent leur pullulation. En France, ceci est particulièrement évident lors des proliférations de chenilles ou de larves de guêpes tenthrèdes dans les forêts de conifères. Ces insectes peuvent manger une grande partie des feuilles des arbres qu’ils attaquent et les fourmis qui chassent et mangent ces insectes protègent les arbres qui sont proches de leurs nids.
L’importance des fourmis :
Les fourmis sont les plus abondants des insectes sociaux. Elles sont présentes partout à l’exception des pôles, des hautes montagnes et de certaines îles océaniques très éloignées des continents,…/… Certaines fourmis influent aussi sur la vie des plantes. Elles ont un effet négatif sur les plantes quand elles mangent leur graines et élèvent des pucerons qui sucent leur sève et elles ont un effet positif quand elles dispersent leurs graines ou les protègent en chassant les insectes mangeurs de feuilles. Enfin les fourmis contribuent grandement à l’aération du sol et à son enrichissement en nutriments »
Je dirais donc que les fourmis contribuent à l’équilibre vital… (elles entrent aussi dans la chaîne alimentaire !).
Pascale
Bonjour Claude… Comme tu dis ! c’est calme et très confidentiel !
Bises
Pascale
Bonjour Loïc
J’avais bien vu ceux de la 9 mais pas celui de la 10.
Ne jette pas l’éponge ! Tu vas l’avoir un jour… tu l’auras !
Pascale
Bonjour Bernard
Heureusement que tu veilles ! J’ai remis de l’ordre dans la numérotation.
Je n’ai pas répondu à ton regret qu’il n’y ait pas de collembole. Je n’en n’ai pas vu et comme je pense n’en n’avoir jamais vu de visu, je ne suis pas sûre qu’il me sauterait aux yeux si j’en avais un sous le nez ! Pourtant, je te jure que j’observe et que j’y passe de longs moments quand c’est comme ça.
Voici encore une autre petite fourmi du mur
24.
25. Rencontre et échange d’informations par les antennes (pas visible sur la photo, mais j’ai pu l’observer).
26. et encore une au milieu de son univers minéral.
A suivre…
Je suis d’accord Bernard. Il n’empêche que tes suggestions étaient intéressantes et que ça ne coûte rien d’essayer !
Concernant l’orchis bouc, il est tellement difficile d’isoler une ou deux fleurs sans qu’il y ait d’interférence que j’ai cherché pas mal de cadrages différents, allant presque jusqu’à l’abstraction comme sur la photo suivante
21. Je ne sais pas si vous serez sensibles à cette photo… moi j’adore !
Mais en voici une autre où je suis parvenue à isoler une fleur, toujours en mettant le sujet dans l’ombre avec un fond éclairé. J’aime bien ces ambiances.
22.
23. et une dernière pour aujourd’hui
Pascale
Bernard,
Voici la première recadrée.
22 bis
Pascale
Bonjour Bernard et merci pour tes suggestions.
Voici un cadrage de l’orchis bouc qui devrait mieux te plaire.20.
Et voici la 19 avec l’insecte un peu plus éclairé.
19 bis
Pascale
Bonjour,
Je continue, toujours avec ces minuscules fourmis qui vivent dans les murs
22.
23.
A suivre…
Pascale
Bonjour,
Allez ! je continue avec quelques divagations autour des orchis boucs
17.
18. et toujours l’Œdémère nobilis (le truc noble selon Loïc !).
19.
Pour faire ces photos, j’ai joué sur les ombres (sur le sujet) et la lumière qui éclairait le fond. J’aime bien l’effet obtenu. Et vous ?
Pascale
Bonjour Loïc,
Tu as raison, l’audience risque d’exploser ! on ne sait pas si c’est l’intérêt naturaliste ou le voyeurisme qui fera l’affaire, mais l’essentiel est que l’espèce puisse perdurer !
Joli exploit. D’après ce que je vois, le mâle est plus petit que la femelle. Est-ce que je me trompe.
Maintenant, le prochain défi… nous faire un beau portrait de monsieur et du segment orange (que l’on devine sur la 9)… cela semble plus compliqué car on dirait qu’il n’est pas très assidu au travail, contrairement à la femelle.
Pascale
Loïc, à mon avis, ils trouvent des graines !
claude, c’est une très belle photo ! Avec l’entrainement, du vas y arriver à en faire une autre belle plus récente.Pascale
Elle est extra cette suite Loïc !
Pascale
Oh Loïc ! Tu vas me le vexer le machin noble
merci pour ton passage et ton avis. Je suis contente qu’elles te plaisent
Pascale
Merci Bernard. Avec les orchis bouc, il faut travailler les ambiances parce que sinon, cela ne donne rien ! Je me suis bien amusée avec elles… et cela toujours par grand vent.
PascaleMerci Bernard. J’ai corrigé la faute de frappe.
c’est vrai que la première n’est pas très piquée… le manque de lumière ne pardonne pas ! Souvent, en plus du manque de lumière, les fourmis se trouvent sous une pierre qui complique une peu plus la prise de vue.
Pascale
Bonsoir Loïc,
pour avoir déjà essayé de les photographier à Rustrel en ta présence Loïc (te souviens-tu ?), je sais comme c’est difficile, alors bravo pour ces 3 photos. Comme Bernard, j’ai une préférence pour la 1.
Pascale
Bonjour,
Mise à jour du blog ce jour avec un article consacré aux photographies faites durant le confinement.
c’est ici : https://www.ascpf.fr/2020/06/confinement-et-photographie/
Pascale
Bonjour à toutes et tous,
Comme promis, voici quelques fourmis photographiées sur le Causse Méjean il y a quelques jours.
Le gîte dans lequel nous nous trouvions Maggy et moi, était bordé par un mur de pierres sèches. C’est un écosystème riche dans lequel poussent différentes plantes et vivent différents insectes ou araignées. L’occasion pour moi de sortir le super objectif macro pour photographier… quoi ? je vous le donne dans le mille ! des fourmis.
Je les avais repérées en fin d’après midi alors que le mur étaient en plein soleil. Elles étaient très actives et très rapides… impossible d’en fixer une sur la carte mémoire. J’ai donc réessayé un matin, quand le mur était à l’ombre. Là, peu d’insectes en vue. Il a fallu attendre un bon moment pour que la vie reprenne un peu mais l’avantage à cette heure là c’est que les fourmis étaient peu actives et surtout beaucoup moins rapides.
Je me suis concentrée sur des fourmis minuscules (moins de 2 mm) qui à en croire mon guide sont de la sous-famille des Myrmicinae et porteraient le doux nom de Temnothorax unifasciatus. Fourmi très commune dans toute la France, elle se nourrit de petits arthropodes, (acariens et collemboles) mais aussi de nectar de fleurs.
20.
21.
A suivre…
Bonjour à tous,
Bernard, l’orchis bouc dans ton jardin, ça fait un peu loin… Mais quelle chance d’avoir cette orchidée à proximité de chez soi !
Loïc, Lors de ses randonnées, Maggy a vu plein de papillons… après, comme ils volaient dans tous les sens, il n’est pas sûr qu’elle ait pu en photographier.
Jour 2.
Nous nous sommes levées tôt pour tenter de photographier les azurés vus la veille… 8 h 15 sur le terrain, mais il était déjà trop tard. Beaucoup s’étaient déjà envolés. Certains cependant se faisaient encore chauffer au soleil. Voici donc une photo de cet azuré aux ailes ouvertes qu’il faut que j’identifie.
13.
Je suis retournée ensuite à l’endroit où, la veille, j’avais repéré les orchis bouc… et là, je m’en suis donnée à cœur joie. Jusqu’à la découvrir par moi-même, je m’étais laissée dire que son nom venait de son odeur, nauséabonde avais-je pensé. Or, il s’avère qu’elle n’est pas aussi odorante que je l’avais imaginée et qu’il faut vraiment se mettre le nez dessus pour détecter une odeur difficile à décrire. En tous cas, rien de repoussant au point de ne pas passer du temps à la photograhier !
14. J’ai eu la chance que les 3 ou 4 orchidées présentes à cet endroit soient toutes habitées d’un Oedemère noble. Petit insecte très actif !
15.
16. Je me suis beaucoup amusée à créer des ambiances qui me plaisent bien.
A suivre avec d’autres ambiances dans les orchis boucs.
Pascale
Hello Olivier… tu as pris du retard !
Pascale
Maeci Bernard.
Je vais régulièrement sur le site insecte.org, c’est même grâce à ce site que j’identifie pas mal d’insectes en complément de mon guide. Je n’ai juste pas encore pris le temps d’y aller depuis mon retour. Pour la dactylorhiza, je suis d’accord avec toi… Je ne me suis pas suffisamment appliquée, pressée par d’autres sujets qui m’attendaient !
Pascale
Bonjour à vous deux,
Oui, Franck, la semaine a été superbe à tous points de vue. Nous avons eu beau temps, contrairement à ce qui avait été annoncé et pour ceux qui auraient dû faire le séjour la semaine précédente, qu’ils n’aient pas de regret, car cette semaine s’est révélée exécrable du point de vue de la météo. Donc, on croise les doigts pour qu’elle soit belle en octobre.
Du point de vue des photos, les sujets ont été très variés et différents pour Maggy et moi, en dehors des incontournables. En effet, Maggy marche beaucoup mieux que moi, elle a donc fait des randonnées auxquelles j’ai participé partiellement ou pas du tout. Je n’ai pas fait de photo de paysage autrement qu’avec mon téléphone (il faudrait que je m’équipe d’un objectif super grand angle), par contre j’ai fait de la super macro, contrairement à Maggy qui n’est pas équipée comme moi. Du coup, vous devriez trouver votre plaisir dans la diversité que nous vous proposerons.
Bernard, je me suis fiée à mon guide sur les insectes pour dire qu’il s’agit de l’Oedomera nobilis, mais je ne savais pas qu’il y en avait autant d’espèces. Donc, pour cela on reste sur une incertitude. Par contre, l’indication du sexe est un plus que tu me fournis. Merci !
Continuons, toujours avec le samedi après-midi.
9. Voici une hespérie dont je n’ai pas encore identifié l’espèce. C’est la seule photo que j’ai et il n’a pas ouvert les ailes, du coup, je risque de peiner à l’identifier.
10. Gros plan sur une Dactylorhiza de Fuschs. Photo faite avec le 100 mm macro. J’ai voulu essayer de faire des gros plans avec l’objectif super-macro, mais cela n’a rien donné d’intéressant.
11. Voici un petit insecte que je ne suis pas parvenue à identifier (Bernard, si tu as une idée, je suis preneuse… sinon, je chercherai de toutes façons). Il est sur une fleur de Pirola chlorantha.
12. Et voici pour finir cet après-midi là, un petit azuré (pas encore idientifié). En rentrant de notre ballade (il était 18 h 40), nous avons vu une grande quantité de ces petits azurés sur les brins d’herbe en long de chemin. Nous nous sommes promis de revenir tôt le dimanche matin pour les photographier avant leur envol.
Pour information : toutes les photos de macro durant le séjour, ont été faite par grand vent… car il nous a accompagnées tout le long du séjour. D’où un grand déchet… mais malgré tout, quelques photos nettes. Mais quand on vit dans le sud, il faut savoir faire avec le vent, et comme je l’ai dit à Maggy, il s’arrête toujours de souffler quelques instants de temps à autres (pour mieux reprendre son souffle sans doute !).
A suivre…
Pascale
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