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Pour avoir une idée de la différence entre l’originale et le post-traitement, voici les deux photos :
1. L’originale (Transformation de l’image RAW en JPG via DPP4 de Canon)
2. L’image modifiée via PS et Camera RAW
Et pour faire plaisir à tous (et à moi …) une nouvelle version adoucie …
Bonjour Pascale,
Non je n’ai pas touché à la saturation. Par contre j’utilise Camera Raw de PS où je touche les curseurs contraste, tons foncés et clairs, blanc et noir, texture et clarté. Evidemment étant donnée la taille de l’oiseau et la distance à laquelle il se laisse approché, il y a aussi un recadrage !
Maintenant la lumière solaire du matin y fait beaucoup … on a eu en Charente-Maritime enfin une belle journée de soleil et de chaleur après plusieurs semaines de temps … mauvais dira-t-on pour rester poli !
Belle journée et à bientôt pour de nouvelles images …
Superbes moments et merci de nous faire partager ces instants magiques.
Là où je suis bluffé c’est que tu réussis à allier la poésie à la technique. Bravo, chapeau bas !
Quelques petites informations sur le matériel ???
Pierre
Magnifique ! Bravo ! Euh … combien d’heures d’affut et de tournage pour ces quelques minutes de bonheur ? Merci.
Pierre
Je reviens sur mon dernier message (du 17/01, ça commence à dater !) où après réflexion intense je ne vois pas comment je vais pouvoir comparer le rail et l’automatisme du R7 puisqu’il faudrait que je monte le 100 macro et … que je n’ai pas de bague EF/RF …
Je vais donc me contenter du rail avec le bon vieux 5D4 et le 100 macro !
Affaire à suivre … dès que je trouve un insecte sympa qui accepte de poser … sans bouger !
Pierre
Le jugement de Pascale est peut-être un peu sévère … mais juste ! Pour moi aussi les 4, 5 et 9 sont les plus abouties justement pour le piqué de l’œil.
Ceci dit bravo et une question : Quelles conditions de prise de vue (appareil, objectif, distance, vitesse …) ?
Merci du partage.
Pierre
J’ai fini par me faire rembourser la bague EF/RF qui n’arrivait pas et qui, finalement, ne me sert à rien pour le R7 avec son 100-500. Pour le reste, je garde mon « vieux » 5Div et on verra plus tard quand je passerai au R5 … si j’y passe !
Pour en revenir au focus stacking avec le R7, après recherches, il est effectivement impossible à réaliser avec le MP-E 65 puisqu’il ne faut pas que l’appareil soit en mode manuel (page 293 de la notice).
On va donc revenir au bon vieux rail ou utiliser le 100 macro !!!
Je vais regarder si on a une différence entre les deux méthodes : le rail et on fait avancer l’objectif ou l’automatisme du R7 pour le bracketing de mise au point.
Suite à venir.
Belle soirée à tous.
Pierre
A mon avis, pour les insectes il va falloir attendre « quelques jours » ou aller du côté sud de l’Equateur !!! Maintenant choisir entre R6 et R7 ou entre R5 et R7, je pense que cela dépend de ce que l’on préfère faire.
Personnellement étant la majeure partie de l’année en Charente-Maritime dans le marais de Moëze-Oléron, les oiseaux sont mes principaux clients donc R7 avec le 100-500.
Etant aussi très attiré par les insectes et la macro, je garde mon « vieux » 5Div et son EF 100 macro en attendant de pouvoir m’offrir le R5 et le dernier 100 macro de Canon, celui avec lequel on peut modifier le bokeh !
Ceci dit je suis toujours ennuyé avec mon MP-E 65 qui n’ira pas sur les R et donc il faudra que je trouve la bague EF/RF pour l’instant introuvable !
Merci Pascale pour ce conseil avisé et ta remarque justifiée ! Pour l’instant j’explore le R7 et je n’ai pas encore utilisé la rafale rapide car j’avais réglé le dual pixel … J’ai pas encore tout compris ni tout pris en main … mais je progresse !
Pierre
Merci !
Oui ce sont parmi mes premières photos avec le R7 et le 100-500 ! Je ne maîtrise encore très bien toutes les astuces de l’auto-focus mais je progresse !
Pour un débutant avec le R7, je dirais que son avantage sur le 90D, et d’une façon générale des hybrides sur les réflex, c’est que l’image vue dans le viseur est celle de la photo finale ! Quand tu fermes, tu voies bien ta photo s’assombrir et la PdC augmenter !
Maintenant il me reste à explorer les autres possibilités qui semblent nombreuses, mais j’avoue être un peu surpris par la qualité des images que j’ai pu obtenir sans avoir eu recours, par manque de compétences, à toutes les subtilités de l’appareil. Tout ce que j’avais pu lire sur le R7 pour l’animalier a l’air tout à fait vrai … et même d’avantage !
Pierre
Pour la macro je préfère utiliser mon 5Div avec le 100 macro f 2.8.
Ceci dit, il m’arrivait de faire de la « macro » avec 90D et le 100-400 :
Je vais donc continuer avec le R7 et le 100-500 !
Merci pour les commentaires et bonne année …
Magnifique présentation ! Merci et tous mes vœux à vous deux particulièrement et à tout le monde pour une année 2024 pleine d’aussi belles rencontres … qu’il nous faudra être capables de présenter aussi bien que vous !!!
Pierre
Photos et commentaires de grande qualité. Bravo et merci pour ce partage de connaissances et de l’iconographie qui va avec.
Bonnes fêtes à tous !…
Excellente remarque ! Je vais m’y atteler et prochaine photo dans quelques … heures ou jours !
Bonjour à tous,
Pour répondre à Olivier, je dirais qu’effectivement je n’ai pas trop travaillé la limite de la netteté … j’aurais pu (dû) faire 15 photos de plus et la question ne se posait pas …
Pour ce qui est de la technique, il y a des dizaines de tutoriels sur Internet avec des moyens plus ou moins sophistiqués et plus ou moins onéreux !
Première chose, à moins de vouloir faire du focus stacking votre métier ou d’en faire tous les jours (voire plus) il n’est pas nécessaire ni utile d’investir dans un rail automatisé ! Un simple rail manuel fait parfaitement l’affaire. Personnellement j’utilise un rail Manfrotto (Manfrotto plateau micrométrique 454, 95 € chez Amazon).
Matériel :
Canon EOS 5D Mark iv
Objectif : Canon MP-E 65
Flash : MEIKE KIT MACRO MK-MT24 TTL (Réglage : auto)
Réglages : Tout en manuel (de toutes façons il n’y a pas d’autofocus ni de réglage de distance sur le MP-E 65)
Vitesse : 1/30
Ouverture : f4
ISO : 1250
Mesure SPOT
Série de photos (60) prises en intérieur sous éclairage LED 40 W, 1/4 de tour de vis par photo.
Logiciel de traitement : HELICON FOCUS 8 (traitement : méthode B)
Si vous avez plus de questions … je suis là !
Belle soirée et bon week-end venteux et pluvieux !
J’aurais aimé pouvoir me rapprocher plus et bien évidemment être plus au ras du sol mais dans le marais on ne fait pas toujours ce que l’on voudrait et c’est dommage !
De là où j’étais il y avait environ 100 m entre le cormoran et moi et aucun moyen de m’approcher sauf à me mettre à l’eau et … on n’est plus en été !
La prochaine fois je prends les cuissardes … que je n’ai pas ! (Cela fait maintenant 3 ans que j’arpente le marais de Moëze-Oléron et c’était la première fois que j’étais témoin de ce genre de scène …).
Merci encore pour vos remarques.
Belle soirée.
Pierre
Merci pour tes observations tout à fait justifiées. Ouverture maximum du Canon EF 100-400 avec l’extendeur 1,4 : f8 au 1/4000 à ISO 1600 ! Pas top pour un bokeh plus sympa mais impossible d’ouvrir plus … (Les photos prises avec un 500 mm f4 auraient été mieux mais … je ne l’ai pas !!!) ni de me rapprocher : il y a beaucoup d’eau actuellement dans le marais ! Et puis accessoirement … j’étais en voiture !
Belle soirée.
Pierre
La photo vaut largement une piqûre de frelon sur la tête, surtout quand ce n’est pas MA tête ! Ceci dit bravo pour le courage ou la témérité … Je n’ai pas bien compris l’utilité du chapeau sauf s’il y avait aussi une voilette ???
Merci du partage.
Pierre
Belle transparence ! L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt … bel avenir et merci du partage de cette belle image.
Pierre
Bienvenue parmi Serge !
Bravo pour ces photos d’oiseaux aussi variées que les espèces présentées. Le Gorgebleue est une espèce que nous partageons … Si tu passes par la Charente-Maritime …
Bien amicalement.
Pierre
Bravo Carole et bienvenue parmi nous.
Superbes photos assez bluffantes par leurs qualités esthétiques et naturalistes. Difficile d’en choisir une plutôt qu’une autre, ton amour des animaux et de la nature transpire à chaque image.
Je suis quand même un peu jaloux de tes photos … j’aimerais pouvoir en faire d’aussi belles !
Bien amicalement.
Pierre
Bonsoir Pascale,
Dommage que l’automne arrive, on voudrait que l’été ne s’arrête jamais et que rien ne vienne perturber toutes tes images avec leurs symphonies de couleurs toute en douceur. Magnifique.
Bravo et merci du partage.
Pierre
Bonsoir Jean-Louis,
Jamais vue mais très bien débusquée !
Bravo et merci du partage.
Pierre
Bonsoir Jean-Louis,
Comme tout le monde, préférence pour la une ! Ceci dit un petit coup de DXO ou de Topaz permettrait de supprimer le bruit un peu trop présent à mon goût.
Bravo et merci du partage.
Pierre
Ma participation : libellule !
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Et pour le vote, comment on fait ??? :yahoo:
Magnifique série avec une préférence pour … non ! Elles sont toutes superbes, bravo.
Une question : sur la photo n°3, les deux mantes se sont-elles ignorées ou ont-elles fini par se battre pour s’entredévorer !
Merci pour ce partage :good: :good: :good:
Sympa la boule de plumes ! Si je l’avais rencontré je l’aurais pris pour un … moineau !!! (Le bec est quand même trop fin …) :good: :good: :good:
28 septembre 2023 à 17 h 37 min en réponse à : Les différentes couleurs d’Ameles Spalanzannia #32698Les sauterelles sont peut-être « un peu » différentes des mantes … Ceci dit mon expérience personnelle, et les photos ci-dessus, montrent quand même une préférence pour les mantes de se trouver sur un support pas trop éloigné de leur couleur. Maintenant je n’ai que quelques dizaines, ou centaines, d’observations de mantes et ces statistiques trop faibles ne me permettent pas de contredire les « spécialistes » … quoi que !!!
20 septembre 2023 à 22 h 46 min en réponse à : Les différentes couleurs d’Ameles Spalanzannia #32638A priori la couleur est totalement indépendante du milieu. C’est aussi, selon les « spécialistes », valable pour la mante religieuse (Manta Religiosa). On peut remarquer, par exemple, que la mante verte des photos 10 et 11 est sur une plante brune alors que la marron des photos 3 et 4 est sur une feuille verte.
Toujours d’après les « spécialistes », les mantes n’ont aucune idée de la couleur de leur environnement et se positionnent uniquement en fonction de la probabilité d’attraper une proie ! -
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